Biogenesis

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Definition

noun
plural: biogeneses
(1) The process in which life forms arise from similar life forms
(2) A theory that asserts that living things can only be produced by another living thing, and not by a non-living thing

Details

Overview

Biogenesis refers to the process whereby a living thing comes from another living thing, particularly of the same type. Biogenesis was not widely accepted before. What was widely popular was the theory of spontaneous generation, which presupposes that life could come from inanimate objects or non-living things. Les gens avaient l’habitude de croire que les asticots pouvaient émerger spontanément de la viande pourrie – qu’un organisme vivant aussi complexe que les souris pouvait être produit à partir de matière non vivante.

Concepts

La notion populaire était autrefois la génération spontanée. Les gens, y compris d’éminents penseurs scientifiques, tels qu’Aristote, croyaient que les souris pouvaient surgir de grains stockés et en l’absence de tout parent biologique. Aristote a écrit dans son livre, Histoire des animaux, que certains animaux pouvaient naître de leurs parents et que d’autres pouvaient se développer spontanément et non à partir de leur même type. Ainsi, l’animal pourrait provenir de la terre ou de la matière végétale en putréfaction.1
Le principe de la génération spontanée stipule que les objets inanimés pourraient produire des êtres vivants. C’est ce qu’on appelle parfois l’abiogenèse. Cette théorie n’est plus largement soutenue à ce jour. Avec l’avènement des outils de laboratoire et des techniques microbiennes, des expériences scientifiques telles que celle de Louis Pasteur ont prouvé que les êtres vivants ne pouvaient pas être générés spontanément à partir d’un objet inanimé. Seuls les êtres vivants sont capables de reproduire une autre vie. Ainsi, la théorie de la génération spontanée est devenue obsolète et la théorie de la biogenèse a été plus largement acceptée.
Cependant, l’abiogenèse obsolète semble avoir le même principe fondateur que celui de l’hypothèse moderne de l’abiogenèse (origine de la vie). Les deux diffèrent en ce sens que l’hypothèse moderne de l’abiogenèse reste acceptée jusqu’à aujourd’hui. En fait, c’est l’une des théories largement acceptées qui décrit l’histoire de la vie. En conséquence, la Terre primordiale était le refuge des premières formes de vie issues de la matière non vivante, comme les composés organiques. Ces entités vivantes primitives n’étaient pas aussi élaborées que les êtres vivants que nous connaissons aujourd’hui. Elles sont moins élaborées dans leur forme, leur structure et leur fonction. L’émergence du vivant à partir d’entités non vivantes s’est faite progressivement et lentement, il leur a fallu des millions d’années. En se diversifiant, les êtres vivants ont fini par devenir plus élaborés en termes d’attributs physiques et génétiques. Ainsi, alors que l’hypothèse moderne de l’abiogenèse implique des millions d’années pour se produire, la génération spontanée a décrit un processus qui implique un laps de temps relativement plus court (par exemple, des minutes, des heures, des jours ou des années).
La biogenèse se réfère au processus dans lequel la vie surgit de formes de vie similaires. Le principe de la biogénèse est opposé à celui de la génération spontanée. La personne qui a inventé le terme de biogenèse est Henry Charlton Bastian (1837-1915). Il a proposé d’utiliser le terme biogenèse à la place de génération spontanée. Plus tard, Thomas Henry Huxley (1825-1895) a proposé d’utiliser le terme « abiogenèse » pour désigner le processus de génération spontanée et le terme « biogenèse » pour désigner le processus par lequel la vie naît d’une vie similaire. Ces définitions ont prévalu. La biogénèse est donc l’opposé de la génération spontanée. Elle affirme que les êtres vivants ne peuvent être produits que par un autre être vivant, et non par un être non vivant.
Un autre concept important à noter est la génération univoque, qui se rapporte au processus par lequel une progéniture provient de parents de la même espèce. Ceci est en contraste avec la génération équivoque, qui se rapporte au processus par lequel une espèce est produite à partir d’une espèce non apparentée, n’impliquant pas nécessairement la reproduction sexuelle. Par exemple, on croyait autrefois qu’un ver solitaire avait été produit par son hôte.

Reproduction

C’est maintenant une notion commune que tout être vivant ne peut provenir que d’un autre être vivant, et on n’a jamais observé de vie cellulaire surgir d’une matière non vivante dans un court laps de temps. De plus, on sait maintenant qu’il existe deux grandes formes de reproduction : la reproduction sexuée et la reproduction asexuée.

Reproduction

La reproduction sexuée chez les organismes unicellulaires tels que les procaryotes s’effectue par simple transfert d’ADN entre deux cellules. Le transfert d’ADN chez les procaryotes se fait (1) par transformation, c’est-à-dire l’incorporation d’un ADN étranger dans le chromosome de la bactérie réceptrice et (2) par conjugaison, c’est-à-dire le transfert direct d’ADN plasmidique entre deux bactéries par l’intermédiaire d’un appendice appelé pilus de conjugaison.
D’unicellulaires, certains organismes ont évolué vers des formes multicellulaires. La multicellularité offrait l’avantage d’avoir une durée de vie plus longue et de mieux s’adapter aux différents environnements. Avec plusieurs cellules, les rôles peuvent être répartis entre elles. Ainsi, différentes cellules peuvent remplir différentes fonctions. Au fil du temps, des formes supérieures d’organismes multicellulaires, comme les humains et d’autres vertébrés, sont apparues avec un corps composé de deux grands types de cellules : les cellules sexuelles et les cellules somatiques. Les cellules sexuelles sont les cellules impliquées dans la production de gamètes et dans la reproduction sexuelle. Le reste des cellules du corps sont appelées cellules somatiques. Les gamètes mâles et femelles sont respectivement les spermatozoïdes et les ovules. Les organismes multicellulaires se reproduisent sexuellement par la copulation qui conduit à l’union des gamètes mâles et femelles. Certains organismes comme certaines plantes et certains invertébrés sont hermaphrodites (monoïques). Ils portent à la fois des gonades mâles et femelles, et les cellules sexuelles mâles et femelles sont donc produites dans un seul corps. Les organismes qui n’ont qu’une seule gonade sont qualifiés de dioïques. Chez les animaux, la reproduction sexuée commence souvent par la recherche d’un partenaire. Ainsi, les comportements de parade nuptiale sont courants et variés dans le règne animal. La sélection naturelle entre en jeu puisque l’organisme doit fournir un effort (parfois, extrême) pour s’assurer un partenaire pour la reproduction sexuée.

Reproduction

La reproduction asexuée est un autre moyen par lequel les organismes se reproduisent. Elle ne fait pas intervenir les gamètes (cellules sexuelles) alors qu’ils sont les acteurs principaux de la reproduction sexuée. Il existe de nombreuses façons de réaliser une reproduction asexuée : la fission binaire, le bourgeonnement, la propagation végétative, la formation de spores, la fragmentation, la parthénogenèse, l’apomixie et l’embryon nucellaire. Les procaryotes se reproduisent principalement par reproduction asexuée. Certains eucaryotes, comme certaines plantes et les animaux parthénogènes, se reproduisent de manière asexuée. Dans la reproduction asexuée, il n’est pas nécessaire de trouver un partenaire. Le parent peut reproduire une progéniture en l’absence de partenaire et donc créer un clone.

Reproduction

Certaines espèces sont capables d’hétérogamie, c’est-à-dire de la capacité d’alterner entre reproduction sexuée et asexuée.

Historique

Les gens croyaient autrefois qu’un être vivant pouvait surgir d’un objet inanimé ou d’une chose non vivante. C’était le principe fondateur de la théorie de la génération spontanée. L’un des partisans bien connus de cette théorie était Aristote.1
Cette théorie a ensuite été remise en question. La première personne à réfuter cette théorie fut Francesco Redi (1626-1697). Il a démontré que les asticots ne sortaient pas de la viande en décomposition mais des œufs de mouches. Pier Antonio Micheli 1679-1737 a également contesté la notion alors populaire. D’après ses découvertes, les spores de champignons qu’il avait placées sur du melon produisaient le même type de champignons. Cela l’a convaincu que les champignons n’étaient pas issus d’une génération spontanée. Malgré cela, la théorie a continué à bénéficier d’un large soutien jusqu’à l’expérience de Louis Pasteur en 1859.
Louis Pasteur 1822-1895, connu pour ses importants travaux scientifiques sur la vaccination, la fermentation microbienne et la pasteurisation, y a mis fin grâce à son expérience en 1859. Il a démontré que rien ne se développait à partir de flacons stérilisés et scellés. Les micro-organismes se développaient sur des flacons ouverts et stérilisés. Il a également utilisé des flacons à col de cygne avec un bouillon fermentescible. La structure de la fiole permettait à l’air d’entrer tandis que les particules de poussière étaient collées au long tube incurvé et ne pouvaient donc pas atteindre le bouillon. Malgré l’entrée de l’air dans la fiole, rien ne s’est développé sur le bouillon. À l’inverse, les micro-organismes se sont développés sur le bouillon lorsque le flacon a été incliné latéralement. Le bouillon est alors entré en contact avec la paroi du tube contaminée par la poussière. Cela a réfuté l’idée que les micro-organismes pouvaient se former spontanément à partir de l’air. Ce sont plutôt les micro-organismes présents sur la poussière qui ont provoqué la détérioration du bouillon. Through his experiments, supporters of the spontaneous generation waned.
With the continued advancement of laboratory tools and techniques, spontaneous generation has been kept strongly disproved. At present, the principles of spontaneous generation became obsolete and the theory of biogenesis became widely accepted.

Supplementary

Etymology

  • Ancient Greek βῐ́ος (bíos, meaning »life »)
  • Ancient Greek γένεσις (génesis, meaning »origin, source »)

Variant

  • theory of biogenesis
  • Synonym

    • biogeny

    Further reading

    Compare

    • spontaneous generation

    See also

  • abiogenesis
  • evolution
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