Samedi dernier, je nettoyais le canal de drainage qui longe mon allée. En arrachant quelques mauvaises herbes et en dégageant quelques feuilles mortes, j’ai dû rencontrer une colonie de fourmis. Ce n’était pas les grandes méchantes fourmis de feu, mais les petites fourmis rouges que la plupart d’entre nous ont dans les fissures de nos allées et de nos trottoirs.
Comme par hasard, elles n’étaient pas très heureuses que je creuse chez elles et elles ont décidé de me rendre la monnaie de ma pièce avec la pustule géante que vous voyez sur la photo. J’ai quelques autres piqûres sur les bras et les jambes, mais j’ai pensé que le nœud dégoûtant de gluant sous pression sur mon pouce était suffisant pour vous le montrer. Je crois qu’il fait bien passer le message.
Ma question est la suivante : dois-je éclater cette pustule et laisser toute cette méchanceté s’écouler ou dois-je la laisser reposer comme un monument à la dernière résistance d’une fourmi sur la main de son bourreau ?
La plupart des sites Web que j’ai consultés pour trouver la réponse avaient des réponses similaires. La réponse la plus courante était que si elle doit être drainée et qu’elle est douloureuse, alors éclatez la cloque. Cependant, prenez des précautions contre l’infection si vous éclatez la cloque. Le conseil le plus répandu était de laisser faire et de laisser le corps se guérir lui-même.
J’ai l’impression que les piqûres de fourmis et les boutons sont un peu comme le papier bulle. Il est très difficile de ne pas les embêter jusqu’à ce qu’ils soufflent des fluides corporels partout. Je pense que ce sera un testament de patience. Si je peux permettre à cette morsure d’être guérie par mon propre corps étonnant, je serai stupéfait. Voici ce que je pense de ce qui va se passer : je vais me cogner la main sur quelque chose et je verrai une rivière de gluant couler le long de mon pouce. Quand cela arrivera, je chercherai un pansement et une serpillière.
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