L’Air Force assouplit les règles de tatouage, les restrictions de recrutement

À partir du 1er février, l’Air Force n’appliquera plus sa règle de tatouage de 25 pour cent, le service a annoncé mardi.

Les aviateurs n’étaient auparavant pas autorisés à avoir des tatouages sur la poitrine, le dos, les bras et les jambes qui étaient plus grands que 25 pour cent de la partie du corps exposée. Désormais, ils pourraient avoir des manches de tatouage complètes sur leurs bras ou de grandes pièces dorsales s’ils le souhaitent.

Les tatouages, les marques corporelles ou les marques sur la tête, le cou, le visage, la langue, les lèvres et/ou le cuir chevelu sont toujours interdits, selon un communiqué de l’Air Force. Les tatouages sur les mains seront limités à un tatouage d’anneau à bande unique, sur un doigt. Les aviateurs qui ont déjà des tatouages sur les mains qui étaient déjà autorisés bénéficieront de droits acquis, selon le communiqué.

Ces changements résultent d’un examen de la politique de tatouage que l’Air Force a commencé à mener plus tôt cette année.

Un examen des recruteurs de terrain de l’Air Force a montré que près de la moitié des contacts, des candidats et des recrues avaient des tatouages, selon le communiqué. Un sur cinq avait des tatouages qui nécessitaient un examen ou pouvaient être considérés comme disqualifiants. En levant la règle des 25 %, l’Air Force ouvre la population éligible pour rejoindre le service.

Les tatouages discriminatoires ou obscènes restent interdits.

Une nouvelle politique en matière de #tatouage est arrivée ! Nous prenons également d’autres mesures pour continuer à permettre aux meilleurs de devenir des #Airmen. https://t.co/XP9z0ABK4f pic.twitter.com/byicmZxKfz
– U.S. Air Force (@usairforce) January 10, 2017

« Dans le cadre de nos efforts pour attirer et retenir autant d’aviateurs qualifiés que possible, nous examinons périodiquement nos politiques d’accès », a déclaré la secrétaire Deborah Lee James dans le communiqué. « Dans ce cas, nous avons identifié des changements spécifiques que nous pouvons apporter pour permettre à plus de membres de notre nation de servir sans compromettre la qualité. As a next step in this evolution, we are opening the aperture on certain medical accession criteria and tattoos while taking into account our needs for worldwide deployability and our commitment to the profession of arms. »

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The Air Force also reviewed medical accession standards, prompting policy changes to waivers concerning common conditions that have disqualified potential airmen. Il s’agit notamment de l’eczéma, de l’asthme et du trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention. Les dérogations pour ces trois conditions comprennent le plus grand volume de demandes des recruteurs, indique le communiqué.

Les candidats de l’Air Force qui sont médicalement classés comme ayant des formes légères d’eczéma seront traités pour une dérogation. Cependant, certaines restrictions peuvent être appliquées pour garantir la sécurité des personnes et des missions.
Pour l’asthme, le service utilisera le test de provocation à la méthacholine pour fournir une mesure objective des candidats ayant des antécédents incertains d’asthme. Les candidats qui réussissent ce test recevront une dispense.
Les recrues qui ne répondent pas à la norme de ne jamais avoir pris plus d’une seule dose quotidienne de médicaments pour le TDAH ou de ne pas s’être fait prescrire de médicaments pour leurs conditions pendant plus de 24 mois cumulés après l’âge de 14 ans seront traitées pour une dérogation si elles ont démontré au moins 15 mois de stabilité de performance, sans utilisation de médicaments.

Ces changements de dérogation sont en vigueur immédiatement.
L’Air Force met également à jour sa politique concernant la consommation de marijuana avant de rejoindre le service. Le changement supprime les limitations numériques sur l’utilisation antérieure de la marijuana par une recrue potentielle. Cela signifie qu’une recrue potentielle ne sera pas disqualifiée pour le service en fonction de la quantité de marijuana qu’elle a fumée dans le passé.
L’ancienne politique s’est avérée ne pas refléter la légalisation actuelle de la marijuana dans de nombreux États, selon le communiqué. Les aviateurs ne seront toujours pas autorisés à en consommer actuellement, mais on ne leur demandera pas combien de fois ils en ont consommé dans le passé.

« Nous examinons toujours nos politiques et, le cas échéant, nous les ajustons pour nous assurer qu’un large éventail d’individus sont admissibles au service. Ces changements permettent à l’Air Force de recruter agressivement des Américains talentueux et capables qui, jusqu’à présent, n’auraient peut-être pas pu servir notre pays en uniforme », a déclaré le sergent-chef de l’Air Force James A. Cody dans le communiqué.
Charlsy Panzino couvre la Garde et la Réserve, la formation, la technologie, les opérations et les caractéristiques pour Army Times et Air Force Times. Envoyez-lui un courriel à [email protected].

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