Pic mineur

pic mineur © Jean-Marie Cataldo

© Jean-Marie Cataldo

Notre pic le plus petit et le plus commun dans l’État de la Baie est le pic mineur. Nommés pour la texture douce des plumes de leur dos, les « downies » peuvent être trouvés presque partout où il y a des arbres. Leurs motifs zébrés et leur comportement industrieux en font un plaisir à observer, aux mangeoires ou dans les bois.

Identification

Les pics duveteux sont petits pour des pics mais de taille moyenne pour des oiseaux de basse-cour (un peu moins de 7″ de long, en moyenne). Leur dos présente une large bande blanche au centre, et leurs ailes noires sont marquées de barres horizontales blanches. Leur visage est également rayé de noir et de blanc, et les mâles présentent un point rouge vif à l’arrière de leur tête.

Le bec des pics cendrés est petit mais pointu et robuste, comme la pointe d’un ciseau. Leurs cousins, les pics chevelus, ont un aspect presque identique, mais ils sont plus grands, avec des becs plus longs qui font facilement la longueur de leur tête.

Comportement

Les pics épeiches passent la plupart de leur temps à s’accrocher aux troncs et aux branches des arbres avec leurs pieds spécialisés. Les pieds des pics sont des zygodactyles : deux orteils en avant, deux en arrière, plutôt que la disposition habituelle de trois en avant, un en arrière des autres oiseaux.

Les pics cendrés picorent et picorent l’écorce des arbres à la recherche d’insectes, et ils rampent souvent jusqu’à l’extrémité des petites branches auxquelles les grands pics ne peuvent accéder. Ils se rendent volontiers aux mangeoires pour y trouver des graines et du suif. En hiver, ils se joignent à de grandes volées de mésanges et de sittelles pour chercher de la nourriture dans le paysage. Au printemps et en été, ils font leur nid dans les cavités des arbres, en particulier dans le bois mou ou pourri que leur petit bec peut creuser.

Statut

Les pics cendrés sont facilement les pics les plus communs et les plus répandus du Commonwealth, et leur volonté d’utiliser les jeunes forêts, les forêts matures ou les banlieues bordées d’arbres a permis à leurs effectifs de rester forts. Les dénombrements hivernaux de cette espèce résidente sont stables ou en augmentation. Pour en savoir plus, consultez l’Atlas des oiseaux nicheurs 2

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