Different types of visual aids
There are many different types of visual aids. The following advice will help you make the most of those most commonly used.
PowerPoint (or equivalent)
Microsoft PowerPoint is probably now the most commonly used form of visual aid. Used well, it can really help you in your presentation; used badly, however, it can have the opposite effect. The general principles are:
Do | Don’t |
use a big enough font (minimum 20pt) | make it so small you can’t read it |
keep the background simple | use a fussy background image |
use animations when appropriate | but don’t over-l’animation – cela devient distrayant | rendre les choses visuelles | utiliser des diapositives interminables de listes à puces qui se ressemblent toutes |
Les diapositives/transparents du rétroprojecteur
Les diapositives/transparents du rétroprojecteur sont affichés sur le rétroprojecteur (OHP) -. un outil très utile que l’on trouve dans la plupart des salles de cours et de séminaires. Le rétroprojecteur projette et agrandit vos diapositives sur un écran ou un mur sans qu’il soit nécessaire de tamiser les lumières. Vous pouvez produire vos diapositives de trois manières :
- diapositives préparées à l’avance : il peut s’agir de mots ou d’images soit écrits/dessinés à la main, soit produits sur un ordinateur ;
- diapositives produites spontanément : elles peuvent être écrites au fur et à mesure que vous parlez pour illustrer vos points ou pour enregistrer les commentaires de l’auditoire ;
- un mélange de chaque : essayez d’ajouter aux diapositives préparées à l’avance lorsque vous faites votre présentation pour montrer le mouvement, souligner le changement ou signaler les interrelations détaillées.
Veuillez vous assurer que le texte de vos diapositives est suffisamment grand pour être lu depuis le fond de la salle. Une règle utile consiste à utiliser un texte de 18 points si vous produisez des diapositives avec du texte sur un ordinateur. Cela devrait également permettre de réduire la quantité d’informations sur chaque diapositive. Évitez de donner à votre public trop de texte ou des diagrammes trop compliqués à lire, car cela limite leur capacité d’écoute. Essayez d’éviter les listes de mots abstraits car elles peuvent être trompeuses ou peu informatives.
Tableau blanc ou noir
Les tableaux blancs ou noirs peuvent être très utiles pour aider à expliquer la séquence des idées ou des routines, en particulier dans les sciences. Utilisez-les pour clarifier votre titre ou pour noter vos points clés lorsque vous introduisez votre présentation (cela vous donnera une liste fixe qui vous aidera à récapituler au fur et à mesure). Plutôt que d’attendre de votre auditoire qu’il suive votre description orale d’une expérience ou d’un processus, écrivez chaque étape au tableau, en incluant toute terminologie complexe ou toute référence précise pour aider votre auditoire à prendre des notes précises. Cependant, une fois que vous avez écrit quelque chose au tableau, vous devrez soit le laisser là, soit l’effacer, ce qui peut être gênant pour votre public. Vérifiez que votre public a bien noté une référence avant de l’effacer – il n’y a rien de plus frustrant que de ne pas avoir assez de temps ! Évitez de laisser au tableau des éléments périmés d’un point antérieur de votre présentation, car cela pourrait perturber votre public. Si vous devez écrire » en direct « , vérifiez que votre public peut lire vos écrits.
Documents papier
Les documents sont incroyablement utiles. Utilisez un polycopié si vos informations sont trop détaillées pour tenir sur une diapositive ou si vous voulez que votre public ait un enregistrement complet de vos résultats. Réfléchissez aux avantages de distribuer vos documents au début, au milieu et à la fin de votre présentation. Si vous les distribuez trop tôt, ils risquent de vous distraire. Si vous les distribuez trop tard, votre public risque d’avoir pris trop de notes inutiles. Si vous les distribuez au milieu de la présentation, votre public va inévitablement lire plutôt qu’écouter. Un moyen efficace d’éviter ces écueils consiste à distribuer des documents incomplets à des moments clés de votre présentation. Vous pouvez alors souligner vocalement les détails manquants, encourageant votre public à combler les lacunes.
Tableau de conférence
Un tableau de conférence est un grand bloc de papier sur un support. C’est un moyen très utile et flexible d’enregistrer des informations pendant votre présentation – vous pouvez même utiliser des feuilles préparées à l’avance pour les points clés. Enregistrez les informations au fur et à mesure, en gardant une idée principale sur chaque feuille. Feuilletez le bloc pour vous aider à récapituler vos points principaux. Utilisez la rotation d’une page pour montrer la progression d’un point à l’autre. N’oubliez pas de rendre votre écriture claire et lisible et vos diagrammes aussi simples que possible.
Vidéo (DVD ou VHS)
La vidéo vous permet de montrer des informations visuelles stimulantes. Utilisez la vidéo pour apporter du mouvement, des images et du son dans votre présentation. Veillez toujours à ce que le clip ait un rapport direct avec votre contenu. Dites à votre public ce qu’il doit rechercher. Évitez de montrer plus de films que nécessaire.
Artefacts ou accessoires
Il peut parfois être très utile d’utiliser des artefacts ou des accessoires lors d’une présentation (pensez à la routine de sécurité dans un avion lorsque le steward vous montre comment utiliser l’équipement de sécurité). Si vous apportez un artefact avec vous, assurez-vous que l’objet peut être vu et soyez prêt à le faire passer dans un petit groupe ou à vous déplacer dans différents endroits d’une grande salle pour aider votre public à le voir en détail. N’oubliez pas que cela prendra du temps et que lorsqu’un public est plongé dans l’observation d’un objet, il aura du mal à écouter votre discours. Dissimulez les grands accessoires jusqu’à ce que vous en ayez besoin ; ils pourraient détourner l’attention de votre auditoire.