Auteur : Association canadienne pour la santé mentale, division de la Colombie-Britannique
Parler de dépression à votre professionnel de la santé est une première étape très importante dans votre cheminement vers le mieux-être. Une fois que vous avez reçu un diagnostic, vous et votre professionnel de la santé devrez élaborer un plan de traitement qui vous convient. C’est essentiel – si votre plan de traitement ne répond pas à vos propres besoins et préoccupations, vous risquez de ne pas en voir les bénéfices dans les domaines de votre vie qui sont les plus importants pour vous.
- Quels professionnels de la santé mentale pourrais-je consulter ?
- Comment puis-je parler avec ces professionnels de la santé ?
- Étape un : définir le problème
- Deuxième étape : fixer des objectifs et prendre des décisions
- Etape deux : fixer des objectifs
- Troisième étape : Prendre des décisions
- Considérer les preuves
- Considérer vos propres préférences et valeurs
- Considérer les expériences des autres
- Quatrième étape : Suivi des résultats
- Suivre votre plan de traitement
- Préparation d’un rendez-vous de santé
- Avant le rendez-vous
- Pendant le rendez-vous
- Activité : Mood Journal
- Where do I go from here?
- Learn more
Quels professionnels de la santé mentale pourrais-je consulter ?
Vous rencontrerez probablement différents professionnels de la santé mentale sur votre parcours de rétablissement. Ils ont différents types de formation et offrent différents services et soutiens. Voici les professionnels avec lesquels vous pourriez travailler au cours de votre parcours :
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Les médecins de famille ou généralistes (également appelés GP) sont des médecins. Les médecins de famille sont les personnes que vous consulteriez en premier lieu pour la plupart des problèmes de santé. Vous avez peut-être déjà un médecin de famille, mais vous pouvez également parler à un médecin de famille dans une clinique sans rendez-vous. Ils sont également votre première étape pour naviguer dans le système de santé mentale. Les médecins de famille peuvent diagnostiquer une dépression, prescrire des médicaments et vous orienter vers des services spécialisés. Les infirmières praticiennes (IP) peuvent faire une grande partie de ce que les médecins de famille peuvent faire et travaillent souvent à côté d’un médecin de famille.
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Les psychiatres sont également des médecins ayant une formation spécialisée en psychiatrie. Ils peuvent diagnostiquer la dépression, prescrire des médicaments et proposer différentes psychothérapies. De nombreux psychiatres travaillent dans des hôpitaux ou des centres de santé mentale. Votre médecin de famille peut vous orienter vers un psychiatre.
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Les psychologues agréés peuvent poser un diagnostic et fournir différentes psychothérapies, mais ils ne prescrivent pas de médicaments.
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Les conseillers (comme les conseillers cliniques agréés ou les conseillers canadiens certifiés) fournissent une évaluation clinique, des stratégies de prévention et des psychothérapies. De nombreux conseillers offrent également un soutien par le biais de plans d’aide aux employés et aux familles (PAEF) dans le cadre d’avantages sociaux en milieu de travail.
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Si vous avez une équipe de santé mentale ou si vous utilisez les services d’un centre de santé mentale, des professionnels comme des travailleurs sociaux, des infirmières autorisées, des ergothérapeutes et des thérapeutes en réadaptation professionnelle peuvent vous aider à acquérir de nouvelles compétences et à atteindre vos objectifs.
Comment puis-je parler avec ces professionnels de la santé ?
Le moyen le plus efficace de prendre en charge votre santé est la prise de décision partagée, ce qui signifie que vous et votre médecin (ou un autre professionnel de la santé) travaillez ensemble pour établir un plan de traitement qui vous convient.
Certaines personnes préfèrent être très impliquées dans leurs soins tandis que d’autres préfèrent une participation moins directe. Votre rôle peut varier en fonction du stade de votre maladie auquel vous vous trouvez : si vous avez été diagnostiqué récemment ou si vous avez beaucoup d’expérience avec votre maladie. Quel que soit le niveau d’implication que vous préférez, vous devez être impliqué d’une manière ou d’une autre.
La dépression peut affecter la façon dont vous interagissez avec votre professionnel de santé. Elle peut affecter votre mémoire et votre concentration. Il est utile de chercher des moyens de garder une trace de tout afin d’avoir l’information quand vous en avez besoin. Vous pouvez utiliser des applications sur votre téléphone pour prendre des notes quotidiennes, suivre les changements d’humeur, noter les questions que vous aimeriez poser lors de votre prochain rendez-vous et programmer des rappels pour ne pas oublier les rendez-vous. Certaines personnes emportent un carnet de notes avec elles. Les autotests de dépistage en ligne sont un autre outil formidable : vous pouvez imprimer vos résultats de dépistage pour les apporter à vos rendez-vous. (Cela peut être une excellente stratégie si vous avez du mal à parler de vos symptômes ou de vos expériences). Certaines personnes trouvent également utile d’amener des membres de la famille ou des amis de confiance aux rendez-vous.
La prise de décision partagée est une série d’étapes qui mènent à un plan de traitement efficace pour vous. Ces étapes sont :
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Définir le problème. Votre rôle consiste à expliquer le problème dans vos propres termes.
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Fixer des objectifs. Décider quels seront les objectifs du traitement, ou décider de ce qui se passera à la suite du traitement.
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Prendre des décisions. Développer et décider des stratégies de traitement. Vous voudrez équilibrer les conseils du professionnel de la santé mentale avec vos propres attentes et priorités en matière de traitement.
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Suivre les résultats. Évaluer si les stratégies fonctionnent et réévaluer le plan de traitement au besoin.
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Étape un : définir le problème
Lorsque vous allez voir un professionnel de la santé mentale, il discutera avec vous pour évaluer votre problème. Votre travail consiste à donner le plus d’informations possible dans vos propres mots pour donner au médecin une image complète de ce qui se passe. Votre médecin devra également savoir ce que vous avez vécu dans le passé et quels traitements vous avez essayés par le passé.
Il est également important de parler de la façon dont votre santé mentale affecte différents domaines de votre vie, comme votre travail, votre vie familiale et vos relations. Par exemple, avez-vous du mal à vous concentrer au travail ? Passez-vous moins de temps avec votre famille et vos amis ? Avez-vous l’impression de ne pas avoir l’énergie nécessaire pour les événements sociaux ? Êtes-vous moins certain que la vie vaut encore la peine d’être vécue ? Ces informations aideront les professionnels de la santé à comprendre vos expériences.
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Deuxième étape : fixer des objectifs et prendre des décisions
Avant de décider d’une stratégie de traitement, vous devez réfléchir à ce que vous voulez changer. Votre satisfaction éventuelle à l’égard de votre plan de traitement dépendra du fait qu’il vous aide à faire face à la façon dont la dépression a un impact sur votre vie.
Votre sens des priorités peut être différent de celui de votre professionnel de santé, vous devrez donc être capable d’expliquer quelles sont vos priorités et pourquoi elles sont importantes.
Lorsque vous élaborez ces questions, vous devrez être ouvert aux conseils de votre professionnel de santé ou de votre réseau de soutien, et ouvert à la prise en compte de nouvelles informations et perspectives qui pourraient changer vos idées. La situation idéale est celle où vous pouvez communiquer vos propres préoccupations, énumérer les nouvelles informations et perspectives, puis vous réunir et vous mettre d’accord sur une stratégie des objectifs à aborder en premier lieu.
Une fois que vous avez décidé de certains des problèmes que vous pouvez aborder de manière réaliste, vous devez ensuite décider de certains objectifs concrets que vous prévoyez d’atteindre. Les objectifs concrets sont suffisamment spécifiques pour que vous puissiez vous représenter ce à quoi ils ressembleront et ce qu’ils signifieront dans votre vie quotidienne. Par exemple, si vous êtes devenu plus isolé socialement, votre objectif pourrait être de devenir plus actif socialement. Pour y parvenir, vous devez être plus spécifique. Un objectif concret en sortant pourrait être de téléphoner à un ami au cours de la semaine prochaine.
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Etape deux : fixer des objectifs
Avant de décider d’une stratégie de traitement, vous devez réfléchir à ce que vous voulez changer. Votre satisfaction éventuelle à l’égard de votre plan de traitement dépendra du fait qu’il vous aide à faire face à la façon dont la dépression a un impact sur votre vie.
Votre travail consiste à expliquer ce que vous espérez obtenir ainsi que ce qui ne fonctionne pas pour vous. Par exemple, si vous vous sentez mieux lorsque vous pouvez travailler, vous ne serez peut-être pas satisfait d’un médicament qui vous empêche de vous lever le matin. Cependant, si votre médecin comprend vos priorités, il pourra vous recommander une meilleure option.
Vous devrez également être ouvert aux conseils de votre professionnel de santé. Idéalement, vous pouvez communiquer vos propres préoccupations à votre professionnel de santé, écouter les nouvelles informations et perspectives, puis vous réunir pour trouver une stratégie de traitement.
Sommet
Troisième étape : Prendre des décisions
Maintenant que vous avez décidé de ce que vous voulez changer, l’étape suivante consiste à déterminer comment vous allez le faire. Décider d’un plan de traitement avec lequel vous pouvez vivre implique différentes parties :
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Considérer les preuves
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Considérer vos propres préférences et valeurs
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Considérer les expériences d’autres personnes
Considérer les preuves
Lorsque vous envisagez une option de traitement, vous devez connaître certains faits de base sur le traitement. Vous devez découvrir comment l’approche fonctionne, combien de temps il faudra pour qu’elle agisse, quels peuvent être les risques et les avantages potentiels, et si c’est un choix approprié pour vous. Voici quelques questions à garder en tête lorsque vous examinez les données probantes, qu’elles proviennent de votre médecin, d’un autre professionnel de la santé ou que vous les ayez découvertes par vous-même :
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Quels sont les risques ou les avantages potentiels ? Dans quelle mesure les avantages sont-ils probables ? Quelle est la probabilité des risques ?
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Que pourrait-il se passer si vous ne faites rien ?
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Comment évaluez-vous les avantages et les inconvénients ? Quels risques êtes-vous prêt à prendre pour atteindre vos objectifs ?
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Avez-vous suffisamment d’informations pour faire un choix éclairé ? Y a-t-il des options ou des perspectives que vous n’avez pas envisagées ?
Si vous envisagez de prendre en compte des informations que vous avez entendues de la part d’un ami ou des informations provenant des médias, d’Internet ou d’un livre, consultez notre fiche d’information Évaluer les informations sur la santé mentale et la toxicomanie.
Considérer vos propres préférences et valeurs
Pour prendre une décision, il faut tenir compte de vos propres attitudes, y compris vos valeurs et vos craintes.
Vous devrez tenir compte de tous les éléments qui influencent votre pensée, y compris vos valeurs personnelles, vos émotions et vos attitudes à l’égard de votre maladie et des traitements potentiels. Par exemple, certaines personnes ont des inquiétudes concernant les médicaments, comme la crainte de devenir trop dépendant des médicaments ou la peur des effets secondaires. Le fait de parler de vos préférences et de vos préoccupations aide les professionnels de la santé à comprendre votre point de vue et à envisager vos préoccupations de façon plus réaliste.
Considérer les expériences des autres
Les expériences des autres peuvent fournir beaucoup d’informations précieuses, et peuvent souvent rassurer. Il est préférable de parler à plusieurs personnes, et pas seulement à une ou deux, pour obtenir une variété de perspectives. La situation de chacun est unique, mais il y a souvent des points communs. Les groupes de soutien sont un bon moyen d’apprendre des autres. Vous pouvez également trouver des récits d’expériences d’autres personnes dans des livres et en ligne.
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Quatrième étape : Suivi des résultats
Une fois que vous avez élaboré votre stratégie de traitement, votre prochain rôle est de contribuer au suivi des résultats. Pour cela, vous devrez savoir quand et comment mesurer le succès. Par exemple, vous devrez savoir combien de temps il faudra pour que les médicaments commencent à faire effet ou combien de temps il faudra pour que la psychothérapie produise des résultats. Vous devez également avoir une idée claire de l’impact qu’un traitement peut avoir sur votre vie quotidienne.
Une fois que vous commencez un traitement particulier, vous devez être en mesure de dire à votre médecin ou au professionnel de la santé mentale ce qui s’est passé entre les visites, comme les effets secondaires des traitements et les changements de symptômes. Il est également important de savoir si le traitement atteint vos objectifs. Il existe de nombreux outils pour vous aider à suivre vos progrès, comme des applications, des journaux et des tableaux. Nous en avons inclus un ici, mais vous pouvez en utiliser d’autres que vous préférez. Ensuite, lorsque vous rencontrerez votre équipe soignante, vous disposerez des informations nécessaires pour évaluer votre traitement actuel et examiner d’autres options, si nécessaire.
Dans les premières étapes de l’élaboration d’une stratégie de traitement, vous devriez rencontrer assez régulièrement votre équipe soignante pour suivre vos progrès et apporter des ajustements à votre plan de traitement lorsqu’ils sont nécessaires.
Il peut être très décourageant qu’un traitement ne fonctionne pas aussi bien que vous l’espériez. Il est impossible de prédire exactement comment un traitement fonctionnera jusqu’à ce que vous l’essayiez, et cela signifie qu’un traitement peut sembler parfait sur le papier mais ne pas réussir à vous aider une fois que vous commencez. Il est fréquent que les gens essaient plusieurs options de traitement avant de découvrir ce qui fonctionne le mieux pour eux. Il est important de garder espoir et de continuer à essayer. Si vous et votre équipe soignante adoptez une approche systématique et passez en revue les options, les chances de trouver un traitement qui fonctionne sont élevées.
Si rien ne semble fonctionner, cela peut être le signe que vous avez besoin d’une autre évaluation. Il se peut qu’un autre problème de santé soit en cause ou que le diagnostic soit incorrect. Si vous avez l’impression que votre professionnel de santé n’est pas disposé à vous écouter ou à envisager différentes options, c’est une bonne idée de demander un deuxième avis à quelqu’un qui pourrait être en mesure de mieux vous aider.
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Suivre votre plan de traitement
Une fois que vous êtes arrivé à un plan de traitement qui fonctionne, il est important de s’y tenir. Pour de nombreux traitements, cela signifie poursuivre le traitement même lorsque vous commencez à vous sentir mieux.
L’arrêt soudain d’un médicament comme un antidépresseur peut provoquer des effets secondaires inconfortables. Si vous voulez arrêter de prendre le médicament, votre médecin peut vous aider à diminuer lentement vos doses pour vous assurer que vous continuez à vous sentir bien.
Si votre plan de traitement ne fonctionne plus pour vous, ayez une discussion honnête avec votre professionnel de santé. Votre médecin peut vous aider à réévaluer votre plan de traitement et à passer à une autre stratégie en toute sécurité.
Préparation d’un rendez-vous de santé
Parler à des professionnels de santé peut être intimidant, mais vous et votre professionnel de santé devez travailler ensemble. N’oubliez pas que votre médecin ne peut pas fournir les meilleures informations s’il ne sait pas quel est le problème, et qu’il ne peut pas proposer les options de traitement les mieux adaptées s’il ne connaît pas vos objectifs ou vos préoccupations. Voici une liste de contrôle pour vous aider à rester sur la bonne voie lors de vos rendez-vous.
Avant le rendez-vous
Planifiez : pensez à ce que vous voulez dire à votre médecin ou à ce que vous voulez apprendre de votre professionnel de santé lors de ce rendez-vous. Décidez de ce qui est le plus important pour vous. Si vous avez des questions particulières, notez-les. Vous pouvez apporter votre liste lors du rendez-vous. Si vous prenez des médicaments, y compris des médicaments en vente libre, prévoyez de les apporter avec vous.
Pendant le rendez-vous
Rapport : dites à votre médecin ce dont vous voulez parler pendant ce rendez-vous
Échange d’informations : assurez-vous de dire au médecin ce qui ne va pas. Il peut être utile d’apporter un autotest que vous avez réalisé ou un journal des symptômes. N’oubliez pas d’expliquer comment votre problème affecte votre vie quotidienne. Vous pouvez vous faire accompagner par un proche, qui pourra vous aider à décrire les changements qu’il a remarqués.
Participez – Discutez avec votre médecin des différentes façons de gérer votre problème de santé. Assurez-vous de comprendre les caractéristiques positives et négatives de vos choix. Posez autant de questions que nécessaire.
Accord – Assurez-vous que vous et votre médecin êtes d’accord sur un plan de traitement avec lequel vous pouvez vivre.
Répétez – Dites à votre médecin ce dont vous pensez avoir besoin pour prendre en charge le problème.
Adapté du programme PREPARE de l’Institute for Healthcare Communication à l’adresse www.healthcarecomm.org
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Activité : Mood Journal
Use a sheet per week to track influences on your mood and/or anxiety and over time, look for trends. Add other influences in the last two blank rows (e.g., menstrual cycle, weather, etc.). For treatment, track medication dosages and side effects and/or counseling appointments. For alcohol use, track number of drinks. For all other categories, use a system of symbols or words that works for you. For example: poor = *; fair = **; good = ***; excellent = ****. OR mild/moderate/severe.
Example:
Mood influences |
Mon |
Tues |
Wed |
Thurs |
Fri |
Sat |
Sun |
Medication (dose) |
Effexor 150mg |
Effexor 150mg |
Effexor 150mg |
Effexor 150mg |
Effexor 150mg |
Effexor 150mg |
Effexor 150mg |
Counselling |
1 hr appt |
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Skills I practiced today |
10 min mindfullness meditation |
thinking traps worksheet |
10 min mindfulness meditation |
10 min mindfulness meditation |
10 min mindfulness meditation |
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Sleep |
6.5 hrs |
6 hrs |
7 hrs |
7 hrs |
7.5 hrs |
8 hrs |
8 hrs |
Exercise |
30 mins |
30 mins |
30 mins |
1 hr |
|||
Overall stress level |
|||||||
Alcohol and other substance use |
1 drink |
2 drinks |
2 drinks |
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Work time |
5 hrs |
5 hrs |
6 hrs |
5 hrs |
5 hrs |
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Overall mood |
Mood influences |
Mon |
Tues |
Wed |
Thurs |
Fri |
Sat |
Sun |
Medication (dose) |
|||||||
Counselling |
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Skills I practiced today |
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Sleep |
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Exercise |
|||||||
Overall stress level |
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Alcohol and other substance use |
|||||||
Overall mood |
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Where do I go from here?
Votre médecin ou votre professionnel de la santé mentale peut vous recommander des ressources dans votre communauté. En plus des ressources professionnelles, vous pouvez trouver un soutien non professionnel utile.
Partenaires de la Colombie-Britannique pour l’information sur la santé mentale et les toxicomanies
Visitez www.heretohelp.bc.ca pour obtenir d’autres fiches d’information sur la dépression et les troubles de l’humeur, des autotests et des histoires personnelles. Visions Journal, notre magazine, rassemble des professionnels de la santé mentale, des personnes gérant des maladies mentales, des membres de la famille et des communautés. Vous pouvez également trouver les fiches d’information Quand on vous diagnostique une dépression et Prévenir la rechute de la dépression.
Les groupes de soutien
Les groupes de soutien sont un moyen important de trouver du soutien et des informations. Ils peuvent vous aider à vous sentir moins seul et plus connecté, même si vous n’avez pas parlé de votre diagnostic à beaucoup d’autres personnes. Vous pouvez trouver des groupes de soutien dans votre communauté par l’intermédiaire de la Mood Disorders Association of BC en ligne à l’adresse www.mdabc.net ou par téléphone au 604-873-0103. Vous pouvez également trouver des groupes de soutien en ligne. Pour en savoir plus sur le choix du groupe de soutien qui vous convient, consultez le feuillet d’information Choisir un groupe de soutien qui vous convient.
Comprendre les médicaments psychiatriques
Le Centre de toxicomanie et de santé mentale de l’Ontario offre des guides pour quatre différents types de médicaments psychiatriques : les antidépresseurs, les antipsychotiques, les stabilisateurs d’humeur et les benzodiazépines. Vous pouvez trouver ces guides en ligne à l’adresse www.camh.net.
Réseau canadien pour le traitement des troubles de l’humeur et de l’anxiété
Visitez le site www.canmat.org pour obtenir des informations sur les traitements des troubles anxieux et des troubles de l’humeur. Vous pouvez également trouver les lignes directrices sur la dépression, qui énumèrent les traitements fondés sur des preuves pour la dépression.
Reprendre votre pouvoir lors des rendez-vous de médication avec votre psychiatre
Visitez www.power2u.org pour l’article Reclaiming your power during medication appointments with your psychiatrist du National Empowerment Center. Il décrit comment penser à la médication et travailler avec les professionnels de la santé pour atteindre vos objectifs de traitement.
Learn more
C’est le deuxième module d’une série de trois. Les deux autres modules sont Quand on vous diagnostique une dépression et Prévenir la rechute de la dépression.
Cette fiche-conseils a été adaptée d’une ressource plus ancienne de BC Partners et HeretoHelp : Macnaughton, E. (2003). » Module 3 : Devenir un partenaire actif dans le traitement : Shared Decision-Making ». Boîte à outils sur la dépression : Information et ressources pour une autogestion efficace de la dépression. Association canadienne pour la santé mentale, division de la Colombie-Britannique.